Le temps dans lequel nous vivons est
caractérisé par la recherche illimitée du plaisir et par une tendance progressive
au libertinage dont la principale devise est : "Je fais ce que je
veux".
L’impudence, la légèreté des mœurs, l'immoralité sexuelle et les
pratiques contre nature sont maintenant acceptées et même promues.
Elles sont
aussi reconnues ouvertement et considérées comme une libération en vue du plein
épanouissement de la personnalité. Ce qui, pendant des siècles, se faisait en
cachette et heurtait le sens commun est désormais mis au grand jour librement
et sans scrupule. On en arrive à appeler le mal bien. C'est le renversement total des valeurs qui
envahit notre société.
Dieu, lui, ne change pourtant pas. Il est le
même hier, aujourd'hui et éternellement. Ce qui, selon la Bible, était mal
autrefois l'est encore aujourd'hui, et le sera encore demain.
Au péché d'aujourd'hui
s'ajoute, pour beaucoup, celui de ne même plus admettre qu'ils pèchent.
Plus on pratique, pour son propre plaisir,
ce qui est mauvais, plus on s'enfonce dans le péché ; on en prend l'habitude et
la conscience disparaît peu à peu, nous devenons pires que des bêtes. « Je
fais ce que je veux », voilà l'attitude de celui qui a perdu sa
conscience. Il est déjà descendu plus bas que la bête, car même la bête obéit
aux lois de la nature.
Ne faites-vous toujours que ce que vous
voulez, ou bien pensez-vous que la
nature a des lois qu'il faut respecter, et que Dieu nous a donné des
Lois qu'il faut respecter ?