Il n’y a pas de place pour Dieu chez un homme imbus de lui-même. Pensée Hassidique.
Citations, pensées positives, pensées enrichissantes, tout ce qu'il vous faut pour retrouver votre optimisme et aller de l'avant.
samedi 19 mai 2012
Un rabbin passa un jour près d’un champ et vit un très vieil homme qui plantait un chêne. « Pourquoi plantes-tu cet arbre ? Lui demanda t-il. Tu ne t’attends sûrement pas à vivre assez longtemps pour le voir grandir et donner des glands ? »
« Ah, répondit le vieil homme, mes ancêtres ont planté des arbres non pour eux, mais pour nous, afin que nous bénéficiions de leur ombre et de leurs fruits. J’en fais autant pour ceux qui viendront après moi.
Les amis de l’Homme.
Un homme avait trois compagnons : le premier, il l’aimait beaucoup ; le deuxième, il l’estimait beaucoup moins ; quand au troisième, il en faisait bien peu de cas.
Un jour, cet homme fut mandé d’urgence chez le roi. Craignant d’avoir été calomnié et d’être incapable de se défendre seul, il se proposa d’emmener l’ami qu’il affectionnait tellement. Mais, celui-ci, après avoir écouté avec compassion les paroles pressantes de cet homme, refusa sans raison de l’accompagner.
Déçu, il s’en fut chez son deuxième ami, celui qu’il estimait bien moins. Et celui-ci lui dit : « Je ne peux malheureusement pas te suivre jusque chez le roi. Tout ce que je peux faire, c’est être à tes côtés jusqu’à l’entrée du parc royal, mais là, je serai dans l’obligation de t’abandonner à ton sort. »
Triste et abattu, l’homme s’adressa, à défaut de mieux, à celui qu’il considérait à peine comme son ami et dont il faisait si peu de cas. Et, à son grand étonnement, celui-ci lui dit : « Ne crains rien, mon cher ami, je pénètrerai avec toi jusque chez le roi et parlerai en ta faveur autant qu’il le faudra. » Et effectivement, il tint parole.
Le premier ami de tout homme, celui qu’il chérit d’une manière toute particulière, c’est la richesse, l’or et l’argent, et pourtant, cet ami l’abandonne dès sa mort. Celui qu’il estime moins, c’est sa famille. Celle-ci peut l’accompagner jusqu’à la tombe, mais elle doit ensuite l’abandonner à son sort. Le troisième ami de l’homme, l’ami loyal et fidèle, celui qui le suit même au-delà de la tombe et intervient en sa faveur auprès du Roi – le Saint, Béni soit-Il – qui l’a appelé devant Lui, ce sont les bonnes œuvres accomplies ici-bas en agissant selon la volonté du Seigneur, Notre Dieu.
Midrash sur les Psaumes.
Quatre leçons de vie...
Première leçon importante - La femme de ménage.
Durant mon deuxième mois au collège, notre professeur nous a donné un petit examen surprise.
J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu aisément à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière : " Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ? "
Il s'agissait certainement d'une blague. Je l'avais rencontrée plusieurs fois. Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine, mais comment j'aurais pu savoir son nom ? J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse. Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l'examen. " Absolument " a répondu le professeur.
" Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens. Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s'il s'agit simplement d'un sourire et de dire bonjour. "
Je n'ai jamais oublié cette leçon. J'ai aussi appris qu'elle s'appelait Dorothée.
J'étais un étudiant consciencieux et j'ai répondu aisément à toutes les questions jusqu'à ce que je lise la dernière : " Quel est le prénom de la femme de ménage de l'école ? "
Il s'agissait certainement d'une blague. Je l'avais rencontrée plusieurs fois. Elle était grande, cheveux foncés et dans la cinquantaine, mais comment j'aurais pu savoir son nom ? J'ai remis mon examen en laissant la dernière question sans réponse. Juste avant la fin du cours, un étudiant a demandé si la dernière question comptait pour la note de l'examen. " Absolument " a répondu le professeur.
" Durant vos carrières, vous allez rencontrer beaucoup de gens. Ils sont tous importants. Ils méritent tous votre attention et vos soins, même s'il s'agit simplement d'un sourire et de dire bonjour. "
Je n'ai jamais oublié cette leçon. J'ai aussi appris qu'elle s'appelait Dorothée.
Deuxième leçon importante - L'aide sous la pluie
Dans la soirée, vers 23h30, une femme âgée noire
se tient le long d'une autoroute de l'Alabama tentant de se protéger de la pluie
battante. Son auto est tombée en panne et elle a désespérément besoin d'un transport. Détrempée, elle décide de demander l'aide de la prochaine voiture qui passe.
Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux. Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours
et lui procure un taxi. Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.
Un jeune homme blanc s'arrête pour lui porter secours, situation très peu courante dans les années 60 troublées de conflits raciaux. Le jeune homme l'amène en sécurité, l'aide à trouver du secours
et lui procure un taxi. Elle a l'air très pressée, mais prend le temps de noter son adresse et le remercie.
Sept jours plus tard, on vient cogner à la porte
du jeune homme.
À sa grande surprise, on lui livre un meuble télé couleur grand format. Une note y est attachée. Elle dit :
" Merci beaucoup de m'avoir porté secours sur l'autoroute l'autre jour. La pluie avait transpercé non seulement mes vêtements mais aussi mon esprit. Puis vous êtes arrivé. Grâce à vous, j'ai pu me rendre
au chevet de mon mari mourant juste avant qu'il ne rende l'âme.
Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres. Bien à vous, Mme Nat King Cole."
Dieu vous bénisse pour m'avoir aidé et pour votre dévouement pour les autres. Bien à vous, Mme Nat King Cole."
Troisième leçon importante - Pensez toujours à ceux qui servent.
À l'époque où un sundae de crème glacée coûtait
beaucoup moins, un petit garçon de 10 ans entre dans le café d'un hôtel et s'assoit à une
table. Une serveuse dépose un verre d'eau devant lui.
" C'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il. " 50 cents " répond la serveuse.Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. " Bien, comment pour un simple plat de crème glacée? " demande-t-il. À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience. " 35 cents " répond-elle sèchement." Je vais prendre le plat de crème glacée " dit-il. La serveuse lui apporte sa crème glacée,
dépose l'addition sur la table et s'en retourne. Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va. Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table. Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents . Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui restait suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.
" C'est combien pour un sundae de crème glacée ? " demande-t-il. " 50 cents " répond la serveuse.Le petit garçon sort la main de sa poche et se met à examiner la monnaie qu'elle contient. " Bien, comment pour un simple plat de crème glacée? " demande-t-il. À ce moment il y a des gens qui attendent pour une table et la serveuse commence à perdre patience. " 35 cents " répond-elle sèchement." Je vais prendre le plat de crème glacée " dit-il. La serveuse lui apporte sa crème glacée,
dépose l'addition sur la table et s'en retourne. Le garçon finit sa crème glacée, paie à la caisse et s'en va. Quand la serveuse revient, elle a la larme à l'oeil en nettoyant la table. Bien placé au côté du plat vide, il y a 15 cents . Le petit garçon ne pouvait pas prendre le sundae parce qu'il devait lui restait suffisamment de monnaie pour laisser un pourboire.
Quatrième leçon importante - Donner quand ça compte
Il y a plusieurs années, quand je travaillais
comme bénévole dans un hôpital, j'ai connu une petite fille qui s'appelait Lize qui souffrait d'une sérieuse maladie rare.
Le seul espoir qu'elle s'en remette semblait être qu'elle reçoive une transfusion sanguine de son petit frère de 5 ans
qui avait miraculeusement survécu à la même maladie et avait développé les anti-corps requis pour la combattre.
Le médecin expliqua la situation au petit frère et lui demanda si il serait prêt à donner son sang à sa soeur. Je l'ai vu hésiter un instant avant de prendre une grande respiration et répondre " Oui je vais le faire si c'est pour la sauver." Au cours de la transfusion, il était étendu dans un lit au côté de sa soeur et il a souri, comme nous tous, quand il a vu sa soeur reprendre des couleurs. Puis il a pâli et son sourire s'est fané. Il a levé les yeux vers le médecin et lui a demandé d'une voix tremblante, " Est-ce que je vais commencer à mourir tout de suite ? " Étant jeune, le petit garçon avait mal compris le médecin ; il croyait qu'il devait donner à sa soeur tout son sang pour la sauver.
Le médecin expliqua la situation au petit frère et lui demanda si il serait prêt à donner son sang à sa soeur. Je l'ai vu hésiter un instant avant de prendre une grande respiration et répondre " Oui je vais le faire si c'est pour la sauver." Au cours de la transfusion, il était étendu dans un lit au côté de sa soeur et il a souri, comme nous tous, quand il a vu sa soeur reprendre des couleurs. Puis il a pâli et son sourire s'est fané. Il a levé les yeux vers le médecin et lui a demandé d'une voix tremblante, " Est-ce que je vais commencer à mourir tout de suite ? " Étant jeune, le petit garçon avait mal compris le médecin ; il croyait qu'il devait donner à sa soeur tout son sang pour la sauver.
"Mettez le temps des vacances à profit pour revenir
sur certains événements que vous avez vécus, certaines rencontres que vous avez
faites, et tâchez d’en tirer des conclusions utiles : à l’avenir vous saurez
mieux comment affronter les situations et vous conduire avec votre entourage.
Révisez aussi les notes que vous avez prises pendant les conférences ou dans
les livres. Choisissez quelques phrases significatives et répétez-les jusqu’à
ce que jaillisse en vous une étincelle qui allumera dans tout votre être un feu
de sagesse et d’amour.
Pendant les vacances on est davantage exposé aux
tentations. Donc, soyez vigilant. Reposez-vous en sachant que le vrai repos est
seulement un changement d’activité. Si vous ne faites rien, même le repos vous
sera nuisible, car un repos où l’esprit ne vient pas dire son mot est toujours
nocif : il ouvre la porte aux conseils pernicieux de la nature
inférieure."
jeudi 17 mai 2012
Votre ennemi ne se trouve pas dans votre estomac
En général, tout ce qui nuit à l'âme nuit aussi au corps. Ainsi, la
colère, la rancune, le ressentiment, la haine affaiblissent les cellules du
corps, ébranlent le système nerveux et sont la cause de maladies graves telles
que l'ulcère d'estomac, le mal de nerfs, etc. Arrêtez donc de croire que celui
que vous détestez se trouve dans votre
estomac et que, par conséquent, l'effet que la colère, la haine ou la rancune
provoquent à votre estomac, c'est votre ennemi qui le subit. Il n'en est rien,
en réalité, votre ennemi dort tranquille pendant que vous vous rongez
l'estomac.
Abandonnez vos pensées négatives et autodestructrices,
apprenez à pardonner et à vous placer au-dessus des problèmes. Non seulement,
vous vous ferez du bien à vous-même, mais vous pourrez aussi transformer votre
entourage.
Toujours juger favorablement son prochain
Nous devons toujours nous efforcer de juger
favorablement notre prochain, même lorsque toutes les apparences sont contre
lui.
Un homme était venu de la haute Galilée pour
travailler pendant trois années chez un employeur. La veille de Yom Kippour (le
jour du grand pardon), il alla chez son employeur pour lui réclamer son
salaire. Celui-ci lui déclara qu’il n’avait ni argent, ni fruits, ni terrain,
ni bêtes, ni coussins, ni couvertures à lui donner. Sans un mot, l’ouvrier fit
son balluchon et retourna chez lui. Après les fêtes, l’employeur prit une
bourse contenant son salaire et se rendit chez son ouvrier.
Après avoir remis son salaire il lui demanda
:
o Quand, avant de partir, tu m’as réclamé ton
salaire et que je t’ai répondu que je n’avais pas d’argent qu’as-tu pensé ?
o J’ai pensé que tu avais trouvé une bonne affaire
et que tu y avais consacré tout ton argent.
o Et pour le refus de te donner une bête, qu’as-tu
pensé ?
o J’ai pensé que tu avais loué toutes tes bêtes, dit
l’employé.
o Et quand que je t’ai dit que je n’avais ni fruits,
ni coussins, ni couvertures, qu’as tu pensé de moi ?
o Je me suis dit que peut être tous tes biens
avaient été consacrés à D…
L’employeur lui révéla que tout s’était
passé effectivement ainsi…. « Et toi qui m’a jugé favorablement , que Dieu
te juge de la même façon. »
Juger son prochain favorablement même quand
les apparences sont contre lui nous permet de nous éloigner des mauvaises
paroles.
Ressaisissez-vous !
Rappelez-vous que toute ascension et encore plus celle vers le bien (ou vers le ciel) nécessite plus d'efforts que la dégringolade ou la descente vers le mal (ou l'enfer ?). Si vous ne sentez pas que vous faites des efforts continuels, alors peut-être que vous vous laissez tout simplement dégringoler. Car, celui qui grimpe ne cesse de faire des efforts: Des efforts pour rester calme devant l'insulte d'un autre automobiliste au volant, des efforts pour pardonner à celui qui vous a causé du tort, des efforts pour faire la charité, c'est-à-dire, offrir à quelqu'un d'autre, un inconnu parfois, une partie du fruit de notre travail, etc.
Si vous êtes constamment en train de vous
faire violence, c'est la preuve que vous montez.
Par contre, Si vous ne vivez que selon la
convenance de vos penchants naturels et n'arrivez jamais à vous faire violence
pour une bonne action, c'est la preuve que vous vous laissez dégringoler.
Ressaisissez-vous, stoppez votre descente et
entamez l'ascension.
Votre langue est-elle bonne ou mauvaise ?
Voici ce que raconte le Midrash :
Rabban Gamliel a dit à son esclave Tabi : «
Va nous acheter un bon morceau de viande au marché ». Tabi a rapporté de la
langue. Au bout de quelques jours, Rabban Gamliel lui a ordonné : « Va nous
acheter un mauvais morceau de viande au marché ». Il a rapporté de la langue.
Rabban Gamliel lui a dit : « Quand je t’ai
dit de nous rapporter un bon morceau, tu nous as rapporté de la langue, et
quand je t’ai dit de nous rapporter un mauvais morceau, tu nous as aussi
rapporté de la langue ?
Tabi lui répondit : « Seigneur ! Quand la
langue est bonne, elle est ce qu’il y a de meilleur. Et quand elle est
mauvaise, elle est ce qu’il y a de pire… »
Une bonne langue bénit, encourage, prononce
des parole agréables et justes, tandis qu’une mauvaise langue médit des autres,
les calomnie, prononce des insultes et des malédictions, ainsi que des paroles
blessantes.
Votre langue est-elle bonne ou
mauvaise ?
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